Le Corsario de René et Thierry.
Petit résumé
Ben voila, René voulais depuis des années un Hydro, et Thierry travail dedans depuis 20 ans, et en voulais aussi, mais il est
beaucoup moins pressé que René.
Alors, au détour d'une des discutions sous le mûrier platane du club durant l'été début août, René annonce que c'est décidé, il
trouvera un Corsario, et fera l'achat de celui-ci, car les rêves sont fais pour être réalisés dit-il.
Après des contactes en Italie, en Corse, et autres coins de France, voila t-il pas que c'est fait, un Corsario est à vendre et que celui-ci n'est pas à l'autre bout de l'Europe, mais à Bellegarde dans l'Ain.
Alors voila le René parti avec son véhicule pour aller voir la bête, elle lui plait, et fait un vol dessus, ou en final, le pilote oublie de sortir
le train, et râpe sérieusement la coque, pas grave il se dit le René, le prix va baisser forcément, et cela sera encore une bonne affaire.
Et devinez quoi, ben oui, la bête est belle, et elle lui plait bien, donc retour au club, discutions avec Georges notre chef pilote Flying Wankers Gourou et moi.
Puis après réflexions, et discutions, la décision est prise de l'acheter si Georges le trouve correcte.
Rendez vous est pris pour revoir la machine, faire un essais en vol, et si tout est ok, le ramener en vol jusqu'au terrain ou il sera basé.
Départ le matin tôt en voiture de René, Georges et Henry qui sera chargé si tout va bien, de ramener la voiture pendant que René et Georges sont dans la machine pour le retour en vol, après avoir fait une réparation de fortune suite au dernier posé.
Arrivée la bas, discutions et petit vol pour tout le monde, inspection de la machine, et achat de celle-ci.
Fin de matinée,après une réparation de fortune permettant de ramener la machine sans voir dessous, le plein est fait, tout est ok,
un vent du nord salvateur est la pour ne pas pourrir la conso, mais aider à rentrer plus vite, et voila donc Georges et René qui décolle
vers notre terrain, et Henry qui redescend la voiture.
Mais voila que le moteur décide de s'arrêter en vol, câble d'accélérateur cassé, pas grave, posé sur le ventre (comme dans le manuel de vol de la machine) dans un champ de chaume coupé, pas très loin d'une route, ou Henry retrouvera l'équipage dans le champ pour commencé à démonter la machine pour la mettre sur la remorque que Pierre à accroché derrière sa voiture et qui est en train de rouler pour rejoindre tout le monde et ramener la machine au terrain.
Après cette épisode, deux jours de repos sont bien venus, mais il est temps de se mettre au travail, elle doit voler avant l'automne.
Démontage complet de la machine façon VA6 sur Canadair, et réfection total de la coque en trois semaines, puis peinture par
Jérémy, et remontage complet en 2 semaines.
Premier vol sur la machine, moins de 5 semaines après que celle-ci soit arrivée au terrain, et la jouissance total est indescriptible, mais vous devez vous en doutez.
Depuis, nous sommes toujours moins de deux mois après sont arrivée, et la machine à fait plus de 20h00 de vol, et beaucoup d'amerrissages, elle à donnée énormément de plaisir et de bonheur en particulier pour René et moi, et en guise de remerciement,
nous lui avons donné un nouveau tableau de bord.
Maintenant nous ne pensons qu'a voler avec elle, les travaux qui nous restent, sont gardés pour l'hiver, la il est temps de voler.
Un grand MERCI à Georges pour le travail fournis pour la remise en état de la machine, et à tout ceux qui, ils se reconnaîtrons,
nous ont aidés pour aller la chercher, la ramener, la peindre, etc...
Thierry.
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La machine désirée |
Mise en route pour le retour |
Décollage vers notre terrain |
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Vacher proprement |
Démontage en attendant la remorque |
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Sur la remorque |
l'ancien tableau de bord |
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Remise en état de la coque. |
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Résine de la coque |
Retour peinture de la coque |
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Remontage |
Le nouveau tableau de bord |
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Maintenant, que du bonheur, hein René? |
Voila une vidéo en vol avec René au manche.
Vive les balades avec elle maintenant !
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